L‘affaire DSK. Voici ce que j’en pense !!

La médiatisation est devenue aujourd’hui un moyen pour devenir célèbre, gagner de l’argent, occuper  la scène politique, c’est une manipulation grotesque qu’utilisent la presse, certains avocats, et même certains hommes politique pour démolir un adversaire potentiel. On utilise des proies faciles, à commencer par exemple : le viol d’une femme de chambre par un homme qui occupe un poste important. Une banale histoire de cul occupe le devant de la scène, et s’étale sur tous les journaux des cinq continents, alors que des femmes par milliers se font violer chaque jour dans le monde, la différence est que le présumé violeur n’est pas un homme ordinaire, c’est un homme important à abattre. Celle qui s’est fait violer est une femme ordinaire, et pour devenir célèbre ne fus ce que pendant quelques semaines ou gagner un peu d’argent elle joue le jeu de ceux qui tirent les ficelles, elles sont un objet facile à manipuler. Dans ce jeux grotesque tout le monde a sa part de responsabilité, les metteurs en scène qui s’engraissent,  et le publique  qui raffole de ce genre de scandale gonflé au maximum. Je ne dis pas qu’il ne faut pas punir les violeurs, bien au contraire, mais ce que je veux expliquer ce sont les méthodes de  deux poids deux mesures qu’on emploi  pour traiter la chose quand il s’agit d’un côté : Un violeur ordinaire, de l’autre : d’un homme qui occupe un poste important. Les dernières mise en scène de ce petit jeu indigne d’une civilisation de notre siècle sont : le présumé violeur  Roman Polanski (Un viol vieux de 30 ans !!), ensuite le patron Wikileaks, et enfin l’affaire DSK .Trois histoires qui tournent autour d’histoire de cul. Seulement ces trois présumés violeurs n’ont pas le même statut qu’un violeur inconnu par le publique. Wikileaks dérange le monde des affaires louches, les magouilleurs, de vrais violeurs aussi, Polanski aussi un homme important, Enfin DSK !! L’homme qui fait la une, un futur   candidat à la présidence de la république, il dérange !!!! C’est une corrida, ollé le publique réclame la mise à mort, le taureau  saigne, le toréador gonfle sa poitrine, il sait qu’il sera le gagnant, ils se battent à arme inégale. Nous tous créant cette pièce dramatique, il n’y aura pas de spectacle s’il n’y  avait pas un public. En devrait laisser les tribunaux faire leur travail, et interdire de mettre en spectacle le présumé coupable. Tout suspect  Est présumé  innocent, tant que sa culpabilité n’est pas prouvée.

Par M.Hermassi